URSSAF nouveautés 2018

Les changements concernant la CSG, les cotisations allocations familiales, maladie et CFP

Augmentation de la CSG

Le taux de la CSG applicable aux revenus d’activité des travailleurs indépendants augmente de 1,70 point au 1er janvier 2018, passant de 7,50 % à 9,20 %.

En contrepartie, le taux de la cotisation d’allocations familiales est revu à la baisse et la réduction dégressive du taux de la cotisation d’assurance maladie-maternité est renforcée pour les travailleurs indépendants.

Ces mesures seront appliquées à partir de la déclaration des revenus 2017 dès avril 2018.

Pour les praticiens et auxiliaires médicaux conventionnés, les cotisations maladie et famille sont partiellement prises en charge par l’assurance maladie. Il est donc prévu que les cotisations d’assurance vieillesse soient également prises en charge partiellement. La mise en place de cette mesure est subordonnée à la signature de  nouvelles conventions  avec les organisations syndicales des praticiens et auxiliaires médicaux.

Réduction du taux de la cotisation allocations familiales

Actuellement, le taux de la cotisation allocations familiales des travailleurs indépendants varie en fonction du revenu annuel des travailleurs indépendants :

  • pour les revenus inférieurs à 43 151 € en 2017 (soit 110 % du plafond annuel de la Sécurité sociale), le taux est fixé à 2,15 % ;
  • pour les revenus compris entre 43 151 € et 54 919 € en 2017 (soit 110 % et 140 % du plafond annuel de la Sécurité sociale), le taux augmente progressivement entre 2,15 % et 5,25 % ;
  • pour les revenus supérieurs à 54 919 € en 2017 (soit 140 % du plafond annuel de la Sécurité sociale), le taux est fixé à 5,25 %.

Le nouveau dispositif prévoit que les travailleurs indépendants dont les revenus sont inférieurs à un seuil fixé par décret bénéficient d’une réduction pouvant atteindre 5,25 point du taux de leurs cotisations d’allocations familiales. La cotisation d’allocations familiales serait donc totalement exonérée dans certains cas.

Ces mesures seront appliquées à partir de la déclaration des revenus 2017 dès avril 2018.

Cette réduction ne peut être cumulée avec aucun autre dispositif de réduction ou d’abattement, à l’exception de l’exonération Accre et de la réduction dégressive du taux de la cotisation maladie maternité.

Renforcement de la réduction dégressive de la cotisation d’assurance maladie-maternité

Les travailleurs indépendants sont redevables d’une cotisation maladie-maternité de base au taux de 6,50 % et proportionnelle à leurs revenus d’activité.

Depuis le 1er janvier 2017, cette cotisation fait l’objet d’une réduction dégressive dans la limite de 3,5 points pour les travailleurs indépendants ayant un revenu d’activité inférieur à 27 459 en 2017 (70 % du plafond annuel de la Sécurité sociale), soit un taux de cotisation de 3 %.

La limite de la réduction dégressive de la cotisation maladie maternité serait portée de 3,5 à 5 points soit un taux de cotisation à 1,50 % en fonction des revenus.

Ces mesures seront appliquées à partir de la déclaration des revenus 2017 dès avril 2018.

Cette mesure ne peut être cumulée avec aucun autre dispositif de réduction ou d’abattement, à l’exception de l’exonération Accre et de la réduction du taux d’allocations familiales.

CFP : Un double appel de la contribution en 2018

La contribution à la formation professionnelle (CFP) devient exigible en novembre de l’année de référence en lieu et place du mois de février de l’année suivante. Ainsi pour cette année transitoire, en complément de la contribution à la formation professionnelle 2017 appelée comme habituellement en février 2018, la contribution due au titre de l’année 2018 est ajoutée à l’échéance de novembre 2018.

Par ailleurs, la CFP des artisans, jusqu’à présent appelée par les centres des impôts, sera appelée par les Urssaf à compter de novembre 2018.

Cactus de Noël ou Schlumbergera

Caractéristiques

Nom latin : Schlumbergera truncata
Floraison : floraison hivernale, 6 à 8 semaines
Exposition : lumière forte sans soleil direct
Température : 15 à 20°C
Arrosage : 1 fois par semaine
Utilisation : Plante d’intérieur, suspension
Plante succulente  /  Cactaceae

Emplacement

Le cactus de Noël est une plante pour laquelle l’emplacement idéal n’est pas facile à trouver. Il supporte très mal les températures supérieures à 20°C et inférieures à 10°C, et il faut lui éviter les courants d’air et les zones de passage. Quand vous avez trouvé l’endroit, n’y touchez plus, car il déteste être déplacé une fois qu’il a commencé sa floraison. En revanche, c’est une plante facile si elle trouve sa place.

Arrosage

Un arrosage par semaine suffit. Il faut qu’il soit régulier mais en évitant à tout prix l’excès d’eau. Contrairement aux autres cactées, le cactus de Noël apprécie une atmosphère humide, n’hésitez pas à vaporiser son feuillage.

Fetilisation

Facultatif durant la floraison, un engrais de type plantes fleuries peut être utile entre avril et septembre.

Faire refleurir

Après la première floraison, si ce Schlumbergera semble très à l’étroit dans son pot (quand les racines sont visibles autour du terreau),  rempoter le cactus de Noël dans un mélange de terreau, de sable de rivière et de terre de jardin.

En été, sorter la plante dans un endroit ombragé, dans un arbre par exemple, où elle retrouverait sa position naturelle d’épiphyte.

Rentrer le cactus de Noël avant les premiers froids.
Pour déclencher la floraison, installer le Schlumbergera pendant deux mois dans une pièce lumineuse et fraîche (15°C environ), non éclairée la nuit afin qu’il bénéficie d’une obscurité aussi longues que dans la nature. Ne presque pas arroser.

À l’apparition des premiers boutons floraux, remettez le cactus dans les mêmes conditions que celles où il a fleuri l’année précédente. Vous le garderez ainsi pendant cinquante ans !

Conseils

Le cactus de Noël refleurit chaque année, à condition de le laisser au repos pendant deux mois avant la floraison, dans un endroit où il bénéficie de longues nuits sans éclairage.

Un bouturage facile et amusant

Bouturer le cactus de Noël

Le cactus de Noël se bouture à tout moment de l’année, sauf à la floraison.

  • Couper 2 à 4 segments aux extrémités de tiges.
  • Pour la cicatrisation, laisser sécher quelques heures.
  • Piquer les boutures dans le même mélange que pour le rempotage.


Les fleurs apparaissant sur les tiges de l’année précédente, il est déconseillé de trop en prélever.

OPC UA : LA NORME D’INTER-OPÉRABILITÉ POUR L’INDUSTRIE DU FUTUR

Source : http://www.smart-industries.fr/fr/mag/11-novembre-2016/opc-ua-la-norme-inter-operabilite-pour-industrie-du-futur

OPC UA est une norme d’interopérabilité (IEC62541) développée par la Fondation OPC qui spécifie l’échange d’informations pour les communications industrielles… Explications.

L’un des principaux objectifs de l’Industrie de Futur est de moderniser l’outil industriel grâce aux technologies numériques. Les technologies d’automatisation jouent un rôle clé dans la mise en place d’usines dites « intelligentes » pour rendre la production plus flexible. Cette nouvelle flexibilité implique une totale interopérabilité au sein de l’usine, et donc une communication homogène pour le système d’information et l’outil de production.

OPC UA est une norme d’interopérabilité (IEC62541) développée par la Fondation OPC qui spécifie l’échange d’informations pour les communications industrielles. OPC UA permet le transport sécurisé de données simples ou complexes depuis des capteurs jusqu’aux systèmes de contrôle avancés, qu’ils soient locaux ou déportés.

Totalement ouvert, OPC UA est indépendant des fabricants de composants, du langage de programmation ou du système d’exploitation, et peut être utilisé sur toute les plateformes matérielles. OPC UA intègre de base des mécanismes de sécurité comme le contrôle d’accès, l’authentification et le cryptage.

Avec OPC UA, toutes les données du processus de production sont échangées de manière uniforme, aussi bien à l’intérieur d’une machine qu’entre machines, ou encore entre une machine et une application sur le cloud. OPC UA établit un pont entre le monde de l’IT et celui de la production.

Flexible et complètement indépendant, OPC UA est considéré comme la norme d’interopérabilité idéale pour la mise en œuvre de l’Industrie 4.0 et de l’Internet des objets industriels (IIoT).

Une relation client/serveur contractualisée

La relation entre client OPC UA et serveur OPC UA correspond à un contrat de service passé entre des composants logiciels. Ce contrat de service est défini par la fondation OPC. Il est l’objet de la spécification OPC UA : IEC62541, et le garant de l’interopérabilité.

La « plomberie »

La « plomberie » permet de distribuer un flux d’informations depuis un serveur vers un client. Ce dernier peut contacter simultanément plusieurs serveurs et un serveur peut être contacté par plusieurs clients en parallèle. La technologie OPC fonctionne par invocation de services. Le client invoque les services qui sont mis à sa disposition par le serveur. La spécification OPC UA définit une liste de 37 services. Ces services seront implémentés selon le profil du serveur OPC UA et du client OPC UA. Les services de base correspondent au profil « core » que doivent implémenter tous les serveurs OPC UA. Autour du profil de base « core »  sont construits par agrégation des profils fonctionnels plus complexes (« nano », « micro », « embedded », « standard », etc), chaque profil englobant intégralement le précédent.

Les éléments constitutifs d’une relation OPC UA

La connexion entre un client et un serveur n’est pas directe. Elle s’établit au travers d’un élément logiciel appelé stack OPC UA. Nous dirons que 3 composants sont mis en œuvre lors d’une connexion OPC UA : un client, un serveur et une stack. Le client invoque un service OPC UA, la stack transforme cet appel en une séquence d’octets  conformes au protocole OPC UA (on parle d’encodage), et le serveur exécute le service demandé par le client.

La modélisation

OPC UA est une technologie orientée objet basée sur des modèles. Un modèle de modèle ou méta-modèle est utilisé pour représenter les objets OPC UA. Le méta-modèle OPC UA est décrit dans la partie 3 de la spécification OPC UA (IEC 62541). On y retrouve des règles sémantiques et des objets permettant de fabriquer de nouveaux modèles. La modélisation consiste donc à utiliser le méta-modèle OPC UA pour créer des modèles.

Les spécifications complémentaires

Les modèles font l’objet de spécifications applicatives. Elles sont aussi appelées spécifications complémentaires ou « Companion Specification ». Elles permettent de représenter un savoir-faire métier en utilisant le méta-modèle OPC UA. Les modèles sont créés par les experts métier et non pas directement par la Fondation OPC.

Les spécifications complémentaires les plus célèbres sont les premières à avoir été publiées et normalisées par l’IEC. Il s’agit des parties 8 (Data Access), 9 (Alarm & Condition), 10 (Program) et 11 (Historical Access), conçues pour les systèmes automatisés.

D’autres spécifications complémentaires plus spécialisées ont été réalisées lors de collaborations avec des organisations de standardisation internationales. En font partie ADI (Analyzer Device Integration), le modèle d’information pour les spectromètres, PLCOpen (IEC61131-3), la norme relative à la programmation des automatismes, ISA S95 (IEC 62264), la norme définissant un modèle abstrait de l’entreprise, AutomationML, le modèle basé sur XML de représentation des données des procédés de fabrication,  AutoID, la méthode d’identification automatique des objets. D’autres spécifications en lien avec BACnet (Bâtiment intelligent), IEC61850 et IEC 61970 (SmartGrid) sont en cours de
définition.

Démultiplication de l’expertise de l’entreprise

Mais les possibilités de modélisation ne s’arrêtent pas aux normes. Elles s’adressent aussi aux modèles propriétaires réalisés pour un secteur d’activité très vertical. Il est ainsi possible de reprendre tous les modèles existants au sein d’une entreprise, sachant que ces modèles reflètent son savoir-faire et sont souvent le résultat de plusieurs dizaines d’années expérience.

Un maître mot dans la Fondation OPC : Collaboration

La collaboration avec les experts d’autres organisations est la clé du succès d’OPC UA. Cette collaboration permet d’établir des ponts avec d’autres secteurs d’activités en apportant toute la puissante, la flexibilité, la sécurité et la robustesse d’OPC UA.

TSN : le turbo pour OPC UA ?

La complexité des tâches d’automatisation industrielle ne cesse de croître, ce qui entraîne le développement de concepts de contrôle distribué. Connectés via un réseau Ethernet industriel, les équipements périphériques sont de plus en plus dotés d’une intelligence propre. Les technologies d’automatisation gagnent ainsi en flexibilité et modularité, d’où une meilleure adéquation avec les besoins de l’utilisateur.

Il n’est pas rare aujourd’hui que des modules de machine soient dotés de leurs propres contrôleurs et assemblés pour former une machine complète et unique. OPC UA assure que les contrôleurs provenant de différents fabricants peuvent être coordonnées facilement au sein d’un seul et même système. Néanmoins, lorsqu’il s’agit de process complexes avec des exigences de temps réel déterministe, TCP/IP atteint ses limites. OPC UA basé sur Time Sensitive Networking (TSN) pourrait bien changer la donne… En effet, de nombreux fabricants d’automatismes et de robots ont uni leurs forces pour doter OPC UA de capacités temps réel déterministe avec TSN(1).

OPC UA TSN est la solution parfaite pour toutes les applications d’automatisation au niveau de l’usine, autrement dit au-dessus du niveau des machines et avec des exigences de temps réel moins strictes. En font partie la synchronisation de ligne, les tâches de contrôle simples, ou encore le pilotage de convoyeurs. Toutes ces tâches requièrent des temps de cycle de 2 à 10 millisecondes et une gigue de quelques centaines de microsecondes. Le temps réel dur, qui concerne principalement les servo-variateurs et les connexions capteurs inférieures à la milliseconde, restera le domaine réservé des protocoles Ethernet industriels temps réel déterministes comme Powerlink ou Profinet-irt.

Dans les années à venir, l’extension d’OPC UA à l’automatisation des lignes aura de profondes répercussions sur la structure des machines et des installations industrielles.

Pub/Sub

Avec le modèle client/serveur, une architecture comportant un grand nombre de nœuds génère un trafic important, ce qui peut avoir une incidence sur les performances du système. Le modèle Publish/Subscribe, en revanche, permet les communications « one-to-many » et « many-to-many » en optimisant les performances et le flux de communication. Un serveur envoie ses données au réseau (publish) et chaque client peut recevoir ces données (subscribe). Ceci élimine le besoin de maintenir une connexion permanente, fortement consommatrice en ressources, entre client et serveur.

Le modèle de communication Pub/Sub est particulièrement adapté à l’Internet Industriel des Objets (IIoT). Dans ce type d’architecture, des producteurs de données, les Publishers, vont pousser de l’information vers un système intermédiaire appelé « broker ».  A son tour le broker redistribuera l’information aux systèmes qui  ont besoin de la consommer, les Subscribers. L’intérêt majeur du « broker » repose sur la notification en temps réel de la publication de nouvelles données, sans devoir constamment interroger un serveur.

La fondation OPC a retenu deux technologies Pub/Sub  mettant en œuvre un broker : AMQP, intégré au  cloud Azure de Microsoft  et à OpenStack, et MQTT, utilisé par Amazon Web Services.

Les cas d’utilisation de la technologie Pub/Sub sont nombreux, allant des bornes de charges des véhicules électriques à la maintenance les distributeurs de boissons. Pub/Sub concerne par exemple tous les objets qui peuvent avoir à communiquer de manière ponctuelle (messages de maintenance, notification d’état…) avec un système de supervision distant.

Cybersécurité

OPC UA est utilisé dans une grande diversité d’environnements opérationnels, souvent au sein d’architectures réseaux étendues et ouvertes. Pour cette raison, la sécurité a été l’exigence principale dans le développement de cette norme, et celle-ci  est complétement intégrée au protocole.

En s’appuyant sur ses nombreuses années d’expérience dans la sécurité des systèmes d’information, la fondation OPC a intégré les mesures de sécurité permettant de faire face aux menaces qui pèsent sur les systèmes industriels :

  •  Authentification et autorisation des applications et des utilisateurs
  •  Confidentialité des informations assurée par le cryptage des messages
  •  Contrôles d’intégrité des messages évitant la manipulation de leur contenu
  •  Auditabilité permettant de tracer les actions effectuées

OPC UA permet une communication sécurisée sur des architectures ouvertes

Ces mesures assurent une parfaite protection du canal de communication (SecureChannel) et offrent toutes les fonctionnalités nécessaires pour assurer la sécurité applicative (UserTokenIdentity). Différents niveaux de sécurité peuvent être sélectionnés selon les exigences de l’application concernée.

Recommandé dans les architectures de référence

Dans son modèle d’architecture de référence (RAMI4.0), la plateforme allemande Industrie 4.0 recommande l’utilisation d’OPC UA pour l’implémentation au niveau de la couche « communication ».

En France, la fondation OPC travaille étroitement avec le groupe de travail normalisation de l’Alliance pour l’Industrie du Futur dans la définition de son modèle de référence, dont les premières recommandations sont attendues d’ici la fin de l’année.

Outre-Atlantique, OPC UA est également au cœur de l’Industrial Internet of Things (IIoT). Les sociétés B&R, Bosch Rexroth, Cisco, GE, Intel, KUKA, Schneider Electric, National Instruments et TTTech annoncent leur collaboration pour vérifier l’inter-
opérabilité des composants de différents fabricants dans des réseaux OPC UA TSN, dans le cadre du « Time Sensitive Networking Testbed » de l’Industrial Internet Consortium (IIC).

 

Par Michel Condemine, représentant technique de la Fondation OPC en France et auteur d’OpenOpcUa et Stéphane Potier, représentant Marketing de la Fondation OPC en France et directeur Marketing France chez B&R Automation.

Comment effectuer une recherche par mots clefs dans Gmail

Dans le champ de saisie de recherche de Gmail, les termes recherchés peuvent être combinés et les règles suivantes s’appliquent:

  • «  » recherche la phrase entre guillemets, majuscules ou minuscules ne sont pas significatives
  • + recherche le terme exact
  • OR recherche avec au moins l’un des termes ou expression
  • recherche qui ne contient pas un terme ou une expression
  • ( ) regroupement de termes ou expression

Les mots clefs suivants sont reconnus:

  • subject: recherche dans le sujet du message, exemple: subject:Bisquine recherche Bisquine dans tous les sujets de vos messages.
  • from: recherche le nom et l’adresse de l’expéditeur
  • to: recherche le nom et l’adresse du destinataire
  • cc: recherche dans le champ cc
  • bcc: recherche dans le champ bcc
  • label: recherche les messages que vous avez classé sous un label spécifique
  • has:userlabels recherche les messages qui n’ont pas les labels définis par défaut par Gmail comme trash, inbox, spam
  • has:nouserlabels recherche les messages ayant comme label un label par défaut de Gmail
  • is:starred recherche les messages suivis
  • is:read recherche les messages lus
  • is:unread recherche les messages non lus
  • is:important recherche les messages importants
  • has:attachement recherche les messages avec pièces jointes
  • filename: recherche les messages avec un nom de fichier joint spécifique, exemples : filename:photo.zip, filename:.zip
  • is:buzz recherche le smessages des post de type Buzz de Google
  • is:chats recherche les messages de chat
  • in: recherche les messages d’un dossier particulier, exemple in:trash, in:draft… (équivalent à label pour les dossiers utilisateurs)
  • after: recherche les messages émis ou reçus après une date donnée, exemple: after:2017/12/31 pour les messages après le 31 décembre 2017
  • before: recherche les messages émis ou reçus avant une date donnée
  • larger: recherche les messages dont la taille dépasse la taille indiquée, exemple larger:120k, larger:2m
  • size: idem à larger:
  • smaller: recherche les messages dont la taille est inférieure à la taille indiquée
  • deliveredto: recherche dans le champ Delivered-to
  • has:yellow-star recherche les messages marqués d’une étoile jaune
  • has:blue-star recherche les messages marqués d’une étoile bleue
  • has:orange-star recherche les messages marqués d’une étoile orange
  • has:red-star recherche les messages marqués d’une étoile rouge
  • has:purple-star recherche les messages marqués d’une étoile violette
  • has:green-star recherche les messages marqués d’une étoile verte
  • has:blue-check recherche les messages marqués d’une coche verte
  • has:red-bang recherche les messages marqués d’un point d’exclamation rouge
  • has:yellow-bang recherche les messages marqués d’un point d’exclamation jaune
  • has:blue-info recherche les messages marqués d’uni bleu
  • has:purple-question recherche les messages marqués d’un point d’interrogation violet
  • has:orange-guillemet recherche les messages marqués de guillemets oranges

Extraire automatiquement les musiques d’un CD audio avec Windows 10

– lancer Lecteur Windows Media à partir du menu démarrer
– Appuyez sur al touche Alt pour obtenir la barre de menu
– Sélectionner Outils->Options…
– Cliquez sur l’onglet Extraire de la musique
– Dans la zone Paramètres d’extraction sélectionnez MP3
– Cochez la case Extraire automatiquement le contenu du CD
– Cochez la case Éjecter le CD après l’extraction
– sélectionnez une qualité de son maximale de 320 Kbits/s
– Insérez le CD dans votre PC
Résultat : les chansons du CD sont automatiquement ajoutées dans votre bibliothèque et vous trouverez les fichiers dans le dossier Musique

Janvier 2018 nouveautés

Nouvelles obligations vaccinales

L’extension de trois à onze du nombre de vaccins obligatoires s’appliquera pour les jeunes enfants qui naîtront à partir du 1er janvier 2018. Aux trois vaccins infantiles d’ores et déjà obligatoires en France (diphtérie, tétanos et poliomyélite, soit le vaccin du DTP), viennent donc s’ajouter huit autres vaccins auparavant seulement recommandés : coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C.

Ces onze vaccins seront indispensables pour une admission en collectivité (crèche, école…). Les parents récalcitrants ne seront toutefois pas sanctionnés pour défaut de vaccination. Dans les faits, 70 % des enfants reçoivent déjà ces vaccins.

Hausse de deux euros du forfait hospitalier

C’était une des mesures les plus décriées du projet de budget 2018 de la sécurité sociale : à compter du 1er janvier, le forfait hospitalier destiné à financer les frais d’hébergement des patients, passera de 18 à 20 euros et de 13,5 euros à 15 euros pour les séjours en psychiatrie.

Cette augmentation – qui doit permettre un gain pour les hôpitaux de 200 millions d’euros – est « équivalente » à l’inflation constatée depuis 2010, date de sa dernière revalorisation, a expliqué le gouvernement, Elle sera prise en charge par les complémentaires santé pour ceux qui en disposent.

Big-bang des amendes de stationnement

Préparez vous au big-bang dans la lutte contre le stationnement sauvage : exit les contraventions, place au « forfait post-stationnement » (FPS) : à partir du 1er janvier, ce sont les villes qui fixeront elles-mêmes le tarif du stationnement ainsi que le montant du forfait remplaçant l’amende, les infractions étant désormais dépénalisées. Et gare aux mauvaises surprises : « oublier » de payer le parcmètre pourra vous coûter 60 euros dans l’hypercentre de Lyon et 50 euros dans les rues du 1er au 11e arrondissement de Paris.

Flambée des tarifs réglementés du gaz

Une mauvaise nouvelle pour le portefeuille. Les tarifs réglementés du gaz naturel, appliqués par Engie à plusieurs millions de clients en France, augmenteront en moyenne de 6,9% en janvier, du fait notamment de la hausse d’une taxe.

Hausse de la fiscalité des carburants

Comme prévu dans le projet de loi de finances 2018, la taxation du diesel et de l’essence vont progresser à partir de janvier. Résultat : les prix à la pompe augmenteront de 7,6 centimes par litre pour le gazole et 3,84 centimes pour l’essence. Le gouvernement entend aligner la fiscalité du gazole sur celle de l’essence d’ici 2021.

Généralisation du « chèque énergie »

C’était l’un des quatre coups de pouce en faveur des particuliers dévoilé par Nicolas Hulot pour mettre en œuvre son «plan climat» : à partir du 1er janvier, « le chèque énergie », expérimenté depuis 2016 dans quatre départements, sera étendu à tout le pays et versé désormais automatiquement. Le dispositif, qui vise à aider les ménages aux revenus très bas (moins de 7.500 euros annuels pour une personne seule ou 16.100 euros pour un couple avec deux enfants) à payer leur facture d’énergie (gaz, électricité, fioul, bois…) viendra ainsi remplacer les tarifs sociaux de l’électricité et du gaz. Versé au printemps, il devrait atteindre en moyenne 150 euros en 2018 et bénéficier à quatre millions de personnes.

Une nouvelle prime à la casse automobile

Autre mesure du phare du Plan Climat promu par Nicolas Hulot : la « prime à la reconversion ». A partir du 1er janvier, le gouvernement va offrir 1.000 à 2.000 euros aux automobilistes vendant leur vieille voiture (avant 1997 pour les modèles essence, 2001 ou 2006 pour les diesel) pour en acheter une récente. Une prime qui atteindra 2.500 euros pour l’achat d’un modèle électrique. Objectif : sortir 100.000 véhicules polluants du parc en 2018.

Plan de mobilité dans les entreprises

A compter du 1er janvier, les entreprises de plus de 100 personnes auront à présenter un « plan de mobilité » (PDE) « pour améliorer la mobilité de son personnel et encourager l’utilisation des transports en commun et le recours au covoiturage ».

Prévu par la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, ce PDE peut ainsi comporter des mesures sur « la promotion du vélo (mise en place d’un stationnement sécurisé, mise à disposition d’un local vélo proposant quelques outils et services, ainsi que des douches pour les cyclistes…) » ou « lencouragement à l’utilisation des transports publics » ou encore « laménagement des horaires de travail : répartition des heures d’arrivée et de départ des salariés en fonction de leurs souhaits et des besoins de l’entreprise… » détaille l’ADEME sur son site.

Hausse du Smic et baisse des cotisations salariales

Bonne nouvelle pour les salariés les moins bien rémunérés. Le Smic augmentera de 1,24 % au 1er janvier 2018, sans coup de pouce, ce qui le fait passer de 9,76 à 9,88 euros brut de l’heure.

Concrètement, un salarié au Smic touchera 20 euros de plus par mois de janvier à septembre, puis 35 euros de plus par mois à partir d’octobre grâce à la revalorisation mécanique du salaire minimum et à l’exonération des cotisations chômage et maladie.

Tous les salariés profiteront de cette suppression de cotisations (-3,15 %). En revanche, la CSG augmentera de 1,7 point pour l’ensemble des Français.

Généralisation du bulletin de paie simplifié

L’expérimentation a été probante :après une phase de test en 2016 dans dix entreprises volontaires, près de 9 salariés sur 10 se sont déclarés « satisfaits » du bulletin de paie clarifié, selon un rapport remis en février au gouvernement. Résultat, après avoir été rendu obligatoire depuis le 1er janvier 2017 pour les entreprises d’au moins 300 salariés, le bulletin de paie simplifié va être généralisé à toutes les entreprises à compter du 1er janvier.

Dans le détail, le nouveau modèle de fiche de paie regroupe notamment « les cotisations salariales et patronales par risque couvert avec des libellés spécifiques : maladie, accident du travail, retraite, assurance chômage » et « fait aussi apparaître le montant total des allégements de cotisations, comme l’exonération totale des cotisations versées à l’Urssaf (hors cotisations chômage) pour les salaires », précise le site service-public-pro.fr

Un prélèvement forfaitaire unique sur l’épargne

A compter du 1er janvier, un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% (incluant les prélèvements sociaux) est mis en place sur l’ensemble des revenus issus de produits d’épargne (rémunérations ou opérations de cession) : actions, obligations…

Cette nouvelle fiscalité ne s’appliquera toutefois pas aux livrets réglementés (Livret A, LLDS), aux PEA (épargne en actions), aux plans épargne logement (PEL) ouverts avant 2018 ou aux contrats d’assurance-vie de moins de 150.000 euros et gardés plus de huit ans. Les plans épargne logement (PEL) ouverts à partir de janvier y seront donc soumis.

Coup d’envoi de la réforme du statut des indépendants

C’est le cœur de la réforme du statut des indépendants dévoilée le 5 septembre par le chef du gouvernement Edouard Philippe. Les indépendants vont voir leur régime social progressivement intégré au régime général et bénéficieront de deux baisses de cotisations (-2,15 points sur les cotisations famille, et exonération accrue des cotisations d’assurance maladie et maternité).

Deux nouveaux diagnostics pour les locations

Nouvelles obligations pour les propriétaires qui souhaitent louer leur logement vide ou meublé : à partir 1er janvier, deux nouveaux diagnostics concernant les installations d’électricité et de gaz devront être réalisés par un professionnel accrédité et annexé au contrat de location du locataire. Appliquée depuis le 1er juillet aux immeubles antérieurs à 1975, cette obligation sera étendue à tous les logements dont l’installation du gaz ou d’électricité a plus de 15 ans ou dont le dernier certificat de conformité date de plus de 15 ans. Tous les détails sont disponibles sur le site de l’Institut national de la consommation (INC).

Une (légère) baisse du prix du tabac

Les prix de certains paquets de cigarettes, comme Camel et Winston, baisseront de 20 centimes le 2 janvier à la suite d’ajustements des fabricants, en attendant la hausse de 1,10 euro prévue en mars par le gouvernement.

« Le prix moyen du paquet de 20 cigarettes est en léger recul, de 5 centimes d’euros, après une augmentation de 30 centimes depuis le 13 novembre. L’augmentation des prix des produits du tabac depuis le 12 novembre est donc de 25 centimes d’euros. Deux tiers des paquets de 20 cigarettes conserveront un prix égal ou supérieur à 7 euros. Les prix homologués des paquets de 20 cigarettes s’établissent de 6,70 euros à 8,10 euros » précisent les douanes dans un communiqué.

API DES CAMÉRAS IP WANSCAM ONVIF (HW NOUVELLE GÉNÉRATION)

Vous trouverez en téléchargement ci-dessous le document officiel des API (en partie en chinois…) concernant les nouvelles générations de caméras IP Wanscam HW, compatibles avec le standard Onvif

Voici en extrait les adresses URL pour les principales fonctions.

ADRESSES URL POUR L’IMAGE

Flux vidéo H264 (utilisable via VLC) :

rtsp://IP_DE_LA_CAMERA:554/1 ==> flux 1 (HD)

rtsp://IP_DE_LA_CAMERA:554/2 ==> flux 2 (SD)

Flux vidéo MJPEG : NON DISPONIBLE sur les nouveaux modèles Wanscam ==> Impossibilité de récupérer la vidéo dans la plupart des box domotiques.

Photo (snapshot) : http://IP_DE_LA_CAMERA:80/web/tmpfs/snap.jpg

ex: http://192.168.1.10:80/web/tmpfs/snap.jpg

ex2: http://admin:admin@192.168.1.10:80/web/tmpfs/snap.jpg (le « admin:admin@ » devant être remplacé par vois codes d’accès sur la caméra).

API DE LA CAMÉRA

http://IP_DE_LA_CAMERA:PORT … suivi des commandes ci-dessous :

ex: http://192.168.1.10:80/cgi-bin/hi3510/ytup.cgi?usr=admin&pwd=admin

ADRESSES URL POUR LES MOUVEMENTS (CAMÉRAS ROTATIVES)

Haut : /cgi-bin/hi3510/ytup.cgi?usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Bas : /cgi-bin/hi3510/ytdown.cgi?usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Gauche : /cgi-bin/hi3510/ytleft.cgi?usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Droite : /cgi-bin/hi3510/ytright.cgi?usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Zoom + : /cgi-bin/hi3510/ptzzoomin.cgi?usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Zoom – : /cgi-bin/hi3510/ptzzoomout.cgi?usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Exemple : http://192.168.1.80/cgi-bin/hi3510/ytup.cgi?usr=admin&pwd=admin

ADRESSES URL POUR APPELER / MÉMORISER UNE POSITION (CAMÉRAS ROTATIVES)

Aller à une position : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=preset&-act=goto&-number=X&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Enregistrer une position : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=preset&-act=set&-status=1&-number=X&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

&-number=X (remplacer le X par le n° de mémoire à appeler / enregistrer)

ADRESSES URL POUR DÉCLENCHER UNE « ALARME »

En cas d’utilisation de la caméra en association avec un système domotique, nous pourrions souhaiter utiliser des détecteurs de mouvement PIR ou d’ouverture de porte/fenêtre (plus fiable que la détection de mouvement intégrée à la caméra) pour déclencher la fonction alarme de la caméra et ainsi envoyer des photos ou vidéos.

Voici les adresses URL qui permettent de déclencher une « alarme » de la même manière que si la caméra avait détecté un mouvement.

Déclenchement de l’alarme : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setioattr&-io_enable=1&-io_flag=0&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Arrêt de l’alarme : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setioattr&-io_enable=1&-io_flag=1&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Les actions possibles sont donc les mêmes (voir le menu « Alarm Service Setting ») :

Envoyer des photos par mail (1 à 3 photos par déclenchement d’alarme).

Uploader des photos ou vidéo sur un serveur FTP.

Enregistrer des photos ou vidéo sur la carte mémoire insérée dans le lecteur microSD de la caméra (si équipé).

Déclencher un son de sirène sur le haut-parleur de la caméra (si équipé).

Faire tourner la caméra dans une position pré-déterminée.

Il est important de programmer le planning horaire pour que cela fonctionne. Si par exemple, vous souhaitez que cela fonctionne en permanence, dans le menu « Alarm Service Setting », cliquez sur « Select list » et « apply ».

ACTIVER / DÉSACTIVER LA FONCTION D’ENREGISTREMENT VIDÉO SUR CARTE SD

Vous devez préalablement aller dans le menu « Record Setting » et configurer l’enregistrement de vidéo sur carte SD :

Quel flux vidéo (stream 1 = HD / stream 2 = SD. Plus la qualité sera elevée, plus la durée de vidéo pouvant être enregistrée sur la carte SD sera limitée),

Durée des fichiers d’enregistrements (il y aura X fichiers de Y secondes),

Planning d’activation de l’enregistrement.

La requête HTTP permettra d’activer ou désactiver totalement la fonction d’enregistrement (correspond à la fonction « Weather to Record »).

Activer /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setplanrecattr&-planrec_enable=1

Désactiver /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setplanrecattr&-planrec_enable=0

ACTIVER / DÉSACTIVER LA FONCTION DE PRISE DE PHOTOS AUTOMATIQUES

/cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setsnaptimerattrex&-as_enable=1&-as_interval=60&-as_type=snap&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

&-as_enable=1 (1 = actif / 0 = inactif)

&-as_interval=60 (intervalle entre deux prise de photo)

&-as_type=snap (snap = enregistrement sur carte SD / email = envoi par mail / ftp = upload sur serveur FTP)

Il est possible d’activer / désactiver et régler l’intervalle de temps pour chaque type d’enregistrement.

GÉRER LES LED IR (VISION DE NUIT)

Automatique : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setinfrared&-infraredstat=auto&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Actif : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setinfrared&-infraredstat=open&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Inactif : /cgi-bin/hi3510/param.cgi?cmd=setinfrared&-infraredstat=close&usr=[votre compte utilisateur sur la caméra]&pwd=[votre mot de passe sur la caméra]

Taille des Hortensias

En régions douces, tailler les fleurs fanées des hortensias. Couper au-dessus du 1er bourgeon situé sous la fleur. Supprimer une ou deux branches âgées du centre de la touffe. Ailleurs, attendre mars ou avril pour tailler.