afin de rencontrer les tous jeunes futurs votants du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment ou l'institutrice est en Train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de Diriger la discussion.
Ainsi l'illustre dirigeant demande aux jeunes élèves de trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
- Un petit garçon se lève et dit : "Si mon meilleur ami qui vit a côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie."
Bush secoue tristement la tête : "Non, mon petit... Ce serait un accident!"
Un léger silence s'installe dans la classe.
Le président insiste : "Qui veut proposer autre chose ?"
- Une petite fille se lève alors a son tour : "Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ca, c'est une tragédie !"
Bush secoue la tête a nouveau : "Non, petite, il s'agit la d'une Grosse perte pour le monde..."
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe.
Bush s'impatiente légèrement : "Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?"
- Alors, Petit Johnny du fin fond de la classe se lève : "Si Air Force One alors qu'il transporte M. et Mme BUSH, est frappe par un missile et est pulvérise en plein ciel, ça c'est une tragédie !"
"Fantastique !" s'écrie le Président, le visage illumine, "Voila une superbe illustration du mot tragédie !
Et peux-tu expliquer a tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?"
"Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !"
Il entre dans une classe et arrive au moment ou l'institutrice est en Train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de Diriger la discussion.
Ainsi l'illustre dirigeant demande aux jeunes élèves de trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
- Un petit garçon se lève et dit : "Si mon meilleur ami qui vit a côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie."
Bush secoue tristement la tête : "Non, mon petit... Ce serait un accident!"
Un léger silence s'installe dans la classe.
Le président insiste : "Qui veut proposer autre chose ?"
- Une petite fille se lève alors a son tour : "Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ca, c'est une tragédie !"
Bush secoue la tête a nouveau : "Non, petite, il s'agit la d'une Grosse perte pour le monde..."
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe.
Bush s'impatiente légèrement : "Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?"
- Alors, Petit Johnny du fin fond de la classe se lève : "Si Air Force One alors qu'il transporte M. et Mme BUSH, est frappe par un missile et est pulvérise en plein ciel, ça c'est une tragédie !"
"Fantastique !" s'écrie le Président, le visage illumine, "Voila une superbe illustration du mot tragédie !
Et peux-tu expliquer a tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?"
"Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !"
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Très impressionne par le staff de Clinton, il va le voir et lui demande comment il fait pour avoir une équipe aussi performante car lui est entoure d'une bande de crétins.
Clinton lui dit :
Jack, parce que c'est toi, je vais tout te dire. Et bien voilà quand Je veux engager quelqu'un dans mon équipe, je lui pose une question, s'il répond juste je le prends, s'il se trompe je le vire.. Ok ? Tu vas voir.
Et il appelle Al Gore.
- Al je te pose une question, si tu réponds juste je te garde, si tu te trompes, je te vire. D'accord ?
Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Al Gore réfléchit un peu puis dit :
- Facile: c'est moi.
- Parfait dit Clinton, je te garde.
Chirac est très impressionne et des son retour a Paris, il convoque Jospin.
- Jospin je vous pose une question, si vous répondez juste je vous garde, si vous vous trompez, je vous vire; d'accord ?
Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Jospin fait : - Hou la, c'est complique, je peux pas répondre comme ça, il me faut réfléchir. Je vous demande 24 heures.
Et Chirac accepte.
Vite Jospin rentre a Matignon et convoque toute la gauche plurielle et leur dit :
- Voila Chirac m'a pose une question, si je réponds juste, il me garde, si je me trompe, il me vire, et voici la question : "C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?"
Tout le monde se creuse les méninges, les verts, les communistes, personne ne trouve.
A un moment quelqu'un dit :
- J'ai une idée, il faut appeler Quiles, il est très fort, il a fait l'ENA, Polytechnique, lui il saura.
Jospin prend son téléphone et appelle Quiles.
- Allô, c'est Jospin. Voila : Chirac m'a pose une question, si je réponds juste, il me garde, si je me trompe il me vire, et voici la question "C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?". T'as une idée ?
Quiles réfléchit un peu puis dit : - Facile, c'est moi.
Jospin remercie et raccroche.
Le lendemain, Chirac convoque JJospin et lui demande s'il a la réponse.
Jospin lui dit :
- Oui, c'est Quiles.
- Je vous vire, répond Chirac, c'était Al Gore.
Clinton lui dit :
Jack, parce que c'est toi, je vais tout te dire. Et bien voilà quand Je veux engager quelqu'un dans mon équipe, je lui pose une question, s'il répond juste je le prends, s'il se trompe je le vire.. Ok ? Tu vas voir.
Et il appelle Al Gore.
- Al je te pose une question, si tu réponds juste je te garde, si tu te trompes, je te vire. D'accord ?
Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Al Gore réfléchit un peu puis dit :
- Facile: c'est moi.
- Parfait dit Clinton, je te garde.
Chirac est très impressionne et des son retour a Paris, il convoque Jospin.
- Jospin je vous pose une question, si vous répondez juste je vous garde, si vous vous trompez, je vous vire; d'accord ?
Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Jospin fait : - Hou la, c'est complique, je peux pas répondre comme ça, il me faut réfléchir. Je vous demande 24 heures.
Et Chirac accepte.
Vite Jospin rentre a Matignon et convoque toute la gauche plurielle et leur dit :
- Voila Chirac m'a pose une question, si je réponds juste, il me garde, si je me trompe, il me vire, et voici la question : "C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?"
Tout le monde se creuse les méninges, les verts, les communistes, personne ne trouve.
A un moment quelqu'un dit :
- J'ai une idée, il faut appeler Quiles, il est très fort, il a fait l'ENA, Polytechnique, lui il saura.
Jospin prend son téléphone et appelle Quiles.
- Allô, c'est Jospin. Voila : Chirac m'a pose une question, si je réponds juste, il me garde, si je me trompe il me vire, et voici la question "C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?". T'as une idée ?
Quiles réfléchit un peu puis dit : - Facile, c'est moi.
Jospin remercie et raccroche.
Le lendemain, Chirac convoque JJospin et lui demande s'il a la réponse.
Jospin lui dit :
- Oui, c'est Quiles.
- Je vous vire, répond Chirac, c'était Al Gore.
lundi, juillet 9, 2012, 00:11 - Sport
Publié par Administrateur
Une association de nains a monté un club de football, et chaque dimanche ses équipes jouent l'une contre l'autre. Publié par Administrateur
Après le match, tous vont dans un café où on leur réserve la salle du premier pour boire un vin chaud.
Un dimanche, un client bourré accoudé au comptoir voit descendre dans l'escalier un, deux, puis trois, cinq, dix puis onze nains en maillot bleu qui traversent la salle, passent devant lui, et sortent dans la rue.
Il se frotte les yeux et recommande un whisky. A peine l'a-t-il bu qu'il voit un, deux, cinq, dix puis onze nains en maillot rouge descendre à son tour l'escalier, passer devant lui, et sortir dans la rue.
Il appelle Tony, le propriétaire du bistrot et lui dit a l'oreille :
"Je voudrais pas t'inquiéter, mais y'a ton baby-foot qui se barre !"
dimanche, septembre 5, 2010, 01:46 - Sport
Publié par Administrateur
afin de rencontrer les tous jeunes futurs votants du pays. Publié par Administrateur
Il entre dans une classe et arrive au moment ou l'institutrice est en Train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de Diriger la discussion.
Ainsi l'illustre dirigeant demande aux jeunes élèves de trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
- Un petit garçon se lève et dit : "Si mon meilleur ami qui vit a côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie."
Bush secoue tristement la tête : "Non, mon petit... Ce serait un accident!"
Un léger silence s'installe dans la classe.
Le président insiste : "Qui veut proposer autre chose ?"
- Une petite fille se lève alors a son tour : "Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ca, c'est une tragédie !"
Bush secoue la tête a nouveau : "Non, petite, il s'agit la d'une Grosse perte pour le monde..."
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe.
Bush s'impatiente légèrement : "Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?"
- Alors, Petit Johnny du fin fond de la classe se lève : "Si Air Force One alors qu'il transporte M. et Mme BUSH, est frappe par un missile et est pulvérise en plein ciel, ça c'est une tragédie !"
"Fantastique !" s'écrie le Président, le visage illumine, "Voila une superbe illustration du mot tragédie !
Et peux-tu expliquer a tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?"
"Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !"
samedi, août 7, 2010, 01:39 - Sport
Publié par Administrateur
Très impressionne par le staff de Clinton, il va le voir et lui demande comment il fait pour avoir une équipe aussi performante car lui est entoure d'une bande de crétins. Publié par Administrateur
Clinton lui dit :
Jack, parce que c'est toi, je vais tout te dire. Et bien voilà quand Je veux engager quelqu'un dans mon équipe, je lui pose une question, s'il répond juste je le prends, s'il se trompe je le vire.. Ok ? Tu vas voir.
Et il appelle Al Gore.
- Al je te pose une question, si tu réponds juste je te garde, si tu te trompes, je te vire. D'accord ?
Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Al Gore réfléchit un peu puis dit :
- Facile: c'est moi.
- Parfait dit Clinton, je te garde.
Chirac est très impressionne et des son retour a Paris, il convoque Jospin.
- Jospin je vous pose une question, si vous répondez juste je vous garde, si vous vous trompez, je vous vire; d'accord ?
Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Jospin fait : - Hou la, c'est complique, je peux pas répondre comme ça, il me faut réfléchir. Je vous demande 24 heures.
Et Chirac accepte.
Vite Jospin rentre a Matignon et convoque toute la gauche plurielle et leur dit :
- Voila Chirac m'a pose une question, si je réponds juste, il me garde, si je me trompe, il me vire, et voici la question : "C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?"
Tout le monde se creuse les méninges, les verts, les communistes, personne ne trouve.
A un moment quelqu'un dit :
- J'ai une idée, il faut appeler Quiles, il est très fort, il a fait l'ENA, Polytechnique, lui il saura.
Jospin prend son téléphone et appelle Quiles.
- Allô, c'est Jospin. Voila : Chirac m'a pose une question, si je réponds juste, il me garde, si je me trompe il me vire, et voici la question "C'est l'enfant de ta mère, ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?". T'as une idée ?
Quiles réfléchit un peu puis dit : - Facile, c'est moi.
Jospin remercie et raccroche.
Le lendemain, Chirac convoque JJospin et lui demande s'il a la réponse.
Jospin lui dit :
- Oui, c'est Quiles.
- Je vous vire, répond Chirac, c'était Al Gore.